Un peu d'humour...

Pour rester en bonne santé, on nous dit qu'il faut manger 5 légumes et 5 fruits par jour.


Je suis allé voir mon banquier, il est au top du top.

Il m'a dit:


Vos comptes, c'est la fin des haricots.

L'oseille n'a plus la cote.

Vos placements ont fait chou blanc.

Dans quelques jours, vous n'aurez plus un radis.

Il ne vous reste plus qu'à prendre un avocat.


Je lui ai répondu:


Si je comprend bien, je n'ai plus de poire pour la soif, plus de cerise sur le gâteau.

Mes économies sont mi-figue, mi-raisin, en plus je ne peux pas ramener ma fraise.

Toutes ces années de labeur, pour des prunes.


Je suis sorti de la banque en chantant à tue-tête:


'Le FRIC, c'est CHIC'

YES

LOLLLLLLLL Archi .......... aurions nous une même relation ????

J'ai reçu ce texte, il y a peu, d'une certaine Kikicanelle!

A samedi?
Bonne nouvelle : pas de pluie; pas de gelée (sauf pr nos comptes); entre 6 & 11° -correct pour une marche.

J'ai mis des œufs dans le panier Fortis. Bon choix ! C'est un super poulailler m'a-t-on assuré, avec beaucoup de bonnes pondeuses. 18 mois plus tard, mes poussins sont nés et vivent avec les autres poules. Un poulailler hollandais a même été acheté pour étendre les perspectives de nos volailles. Je n'ai pas reçu beaucoup d'œufs et survient une crise mondiale du maïs : difficile de bien nourrir toutes les poules. Mais le gouvernement rassure : on donne du maïs, tout va bien... La semaine suivante, surprise du WE : le poulailler Hollandais est rendu à l'état Hollandais, avec quelques poules de plus et pour bien moins cher que le prix d'achat... Et toutes les autres poules qui pondaient de beaux gros œufs jusqu'à hier ont été vendues par le gouvernement aux français pour une bouchée de pain sec sans prévenir ni se soucier de l'avis de ceux qui avaient apporté leurs œufs. Mais je dois être rassuré, heureux et fier : les poules seront plus heureuses chez BNP qui a un immense pondoir ! Aujourd'hui, il me reste des parts dans un beau poulailler galvanisé, mais sans aucune poule, et qui contient encore 66% d'un stock de fumier de poules malodorant et quelques cailles malades que les français n'ont pas voulues...

Nos estans arrivés on pô pu timp', histwère di goster ô bon caffè et d'aveur po nos' aut' les p'tits buscûtes qui vont st'avou.

Qwand l'a s't'arrivé, Nanesse a compluminté Yves so s'novelle cravate, qu'elle alléve vrèymint bien avou s'costume à grisès lègnes.

Yves a respondou qui n'aveut nou timps à piède è qu'on n'esteut nin là po djôser di s'cravate.

On pô vexèye, Nanesse li a dit :

Nanesse : Dihéz don m'fi Yves, nos savans bin qu'vos n'avez nou timps à piède, nos' aut non pu, savez. Min houtez on pô : Nos savans bin çouk vos z'allez dire. Vos allez djoser d'on r'preneur, qu'enn' a onc, deux, minme treus. Tot çoula nos fêt ine belle djambe ... Nos aut' çouk nos vôriz bin saveur, c'est qui c'est parêt ci r'preneur-là. Paski, int' di nos aut', là, les djins, vèyéz-ve, so noss' forum, i d'het qui si c'est' on Luxembourgwès, ennè volè nin, i n'a qu'on Belge parêt nos aut' qui pôreu r'prind' nos censes ... comprindez-ve mi fi Yves ?

Yves Leterme : ma foi chère Madame Nanesse je comprends fort bien votre désir légitime de vouloir concentrer en terre Belge et sous pavillon belges les avoirs durement économisés durant toute votre vie de dur labeur, mais force m'est de constater que les repreneurs éventuels ne se trouvent pas aussi facilement qu'un paquet de frites sur la Batte du dimanche. D'autre part, je voulais non seulement vous confirmer que des repreneurs existent toujours bel et bien, mais je voulais également vous apporter d'autres nouvelles.

Nanesse (aux autres membres du Comité KK) : Qui m'raconte t-y là don lu ? Dji n'comprinds rin à ses comptes mi ?
Nanesse (à Leterme) : Vos estez bin binamé m'fi Yves, min mi dji n'a nin voss éduc et voss instruc, èdon, alorss si vos poliz djoser comme tol' monde, ci sèreut mî savez, m'fi. Oho à propos di tol' monde, i n'a l'camarode Wake qui m'a d'mandé d'vos r'mette ine clapante bohe à picettes (s'approchant de Leterme pour l'embrasser).

Yves Leterme (reculant effrayé et prenant la poudre d'escampette) : chère Madame Nanesse, gardez vos baisers et vos distances, je suis enrhumé. Et pour le reste des communications importantes que j'avais à vous faire aujourd'hui, ce sera pour une autre fois, parce que le temps qui vous est imparti est écoulé. Veuillez donc reprendre rendez-vous pour une rencontre ultérieure avec mon secrétariat. Mesdames, Messieurs, j'ai bien l'honneur, et prière de ne pas emporter tous les petits gâteaux comme la dernière fois.

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