2008-10-25 :: business.timesonline.co.uk Iceland leaves British depositors out in the cold

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Iceland leaves British depositors out in the cold

Helen Power and Hildur Helga Sigurdardottir in Reykjavik

Iceland is poised to receive a bailout loan from the International Monetary Fund (IMF) without giving the UK Government assurances about how it will reimburse thousands of British savers with money in Icelandic banks.

Geir Haarde, Iceland’s Prime Minister, said yesterday: “Our dealings with Britain over Icesave are not included in the talks. Those will be resolved on another level and we are at present not prepared to commit to British demands apart from those to which we are legally bound.”

Iceland’s decision to go ahead without first securing a deal with the UK will come as a blow to the British Government, which has had to spend billions guaranteeing UK savings in Icelandic banks.

The Treasury has become embroiled in an increasingly bitter war of words. This week, Iceland released a transcript of a telephone conversation between Alistair Darling and Icelandic officials, showing that, contrary to Mr Darling’s claims on October 8, Iceland did not categorically refuse to compensate British savers.


The Chancellor said yesterday that he wanted the IMF money to be made conditional on a plan to reimburse Britain. Mr Darling said: “I was left in no doubt when I spoke to them at the beginning of this month that the British depositors were not going to be included. I’m afraid, as of today, the Icelandic Government has not done that.”

Mr Haarde and Ingibjorg Solrun Gisladottir, Iceland’s Foreign Minister, said yesterday that the country had secured a preliminary agreement from the international lender of last resort to borrow $2 billion, with the first $800,000 tranche due within ten days. Iceland’s foreign currency reserves have run dry and the island nation desperately needs dollars to pay for crucial imports including food, medicine and fuel.

The IMF is expected to impose tough conditions on Iceland in return for its loan, including the stipulation that the Government deleverage its nationalised banks soon. But Mr Haarde insisted there were no conditions in the IMF loan “that require any fundamental changes in the structure of Icelandic society”. The Icelandic Government said that it hoped Russia and Japan would give “follow-up” loans once the IMF money, a fraction of what is needed, was in place.

Mr Haarde continued his verbal assault on the UK Government, which appropriated assets from Kaupthing, the Icelandic bank, two weeks ago and is set to instruct Ernst & Young, the accountancy firm, as administrator of the UK assets of Landsbanki, the country’s other nationalised bank.

“We still do not know what prompted the British Government’s shameful decision to put Iceland on a ‘terror list’ and apply terrorist law to freeze Icelandic assets in Britain,” said Mr Haarde. He added that his government was still considering suing Britain over its appropriation.

The Guernsey Government said that it will not bail out the subsidiary Landsbanki Guernsey, which has more than 2,000 savers’ accounts. UK savers who have accounts with Kaupthing Singer & Friedlander on the Isle of Man are also facing uncertainty over how much of their money will be safe, as the Goverment there has not yet decided whether to put the subsidiary into liquidation. The vast majority of British savers with deposits in Icesave will get their money back next month, the Financial Services Compensation Scheme announced yesterday.



Traduction Systran :

L'Islande laisse les déposants britanniques dehors dans le froid
Helen et Hildur Helga Sigurdardottir à Reykjavik

L'Islande est porté en équilibre pour recevoir un prêt de renflouement du Fonds monétaire international (FMI) sans donner au gouvernement BRITANNIQUE des assurances au sujet de la façon dont il remboursera des milliers d'épargnants britanniques avec de l'argent aux banques islandaises.

Geir Haarde, le premier ministre de l'Islande, a indiqué hier : « Nos rapport d'affaires avec la Grande-Bretagne au-dessus d'Icesave ne sont pas incluses dans les entretiens. Ceux seront resolved à un autre niveau et nous ne sommes pas actuellement disposés à commettre aux demandes britanniques indépendamment de ceux auxquels nous sommes légalement liés. »

La décision de l'Islande à aller en avant sans fixer d'abord une affaire avec le R-U viendra comme coup au gouvernement britannique, qui a dû dépenser des milliards garantissant l'épargne BRITANNIQUE aux banques islandaises.

Le trésor est devenu entraîné dans une guerre des mots de plus en plus amère. Cette semaine, Islande a libéré une transcription d'une conversation téléphonique entre Alistair chéri et les fonctionnaires islandais, prouvant que, contrairement aux réclamations de M. Darling's le 8 octobre, l'Islande n'a pas catégoriquement refusé de compenser les épargnants britanniques.

Le chancelier a dit hier qu'il a voulu que l'argent de FMI fût gagné conditionnel sur un plan pour rembourser la Grande-Bretagne. M. Darling a dit : « J'ai été laissé dans aucun doute quand je leur ai parlé au début de ce mois que les déposants britanniques n'allaient pas être inclus. J'ai peur, en date d'aujourd'hui, le gouvernement islandais n'a pas fait cela. »

M. Haarde et Ingibjorg Solrun Gisladottir, le ministre des affaires étrangères de l'Islande, a dit hier que le pays avait fixé un accord préliminaire du prêteur de dernier ressort international d'emprunter $2 milliards, avec première tranche la $800.000 due dans les dix jours. Les réservations de la devise étrangère de l'Islande ont couru sec et la nation d'île a besoin désespérément de dollars pour payer les importations cruciales comprenant la nourriture, la médecine et le carburant.

On s'attend à ce que Le FMI impose des conditions dures à l'Islande en échange pour son prêt, y compris la condition cette le deleverage de gouvernement ses banques nationalisées bientôt. Mais M. Haarde insisté là n'étaient aucune condition en prêt de FMI « qui exigent tous les changements fondamentaux de la structure de la société islandaise ». Le gouvernement islandais a dit qu'elle a espéré que la Russie et le Japon accorderaient à des prêts de « suivi » par le passé l'argent de FMI, une fraction de ce qui est nécessaire, était en place.

M. Haarde a continué son assaut verbal sur le gouvernement BRITANNIQUE, qui s'est approprié des capitaux de Kaupthing, la banque islandaise, il y a deux semaines et est placé pour instruire Ernst & Young, la société de comptabilité, comme administrateur des capitaux BRITANNIQUES de Landsbanki, l'autre banque nationalisée du pays.

« Nous ne savons toujours pas ce qui ont incité la décision honteuse du gouvernement britannique pour mettre l'Islande sur un liste de terreur et pour appliquer la loi de terroriste pour geler les capitaux islandais en Grande-Bretagne, » avons dit M. Haarde. Il a ajouté que son gouvernement envisageait toujours de poursuivre la Grande-Bretagne au-dessus de son appropriation.

Le gouvernement de Guernesey a dit qu'elle n'écopera pas dehors le Landsbanki subsidiaire Guernesey, qui a plus de 2.000 comptes des épargnants. Épargnants BRITANNIQUES qui ont des comptes avec Kaupthing et Friedlander sur l'île de Man font face également à l'incertitude au-dessus de quelle quantité de leur argent sera sûr, car le gouvernement là n'a pas encore décidé si mettre la filiale dans la liquidation. La grande majorité d'épargnants britanniques avec des dépôts dans Icesave obtiendra leur dos d'argent le mois prochain, l'arrangement de compensation de services financiers annoncé hier.