2008-10-30 23h59 : Payouts to savers would cripple Icelandic economy, says Geir Haarde

Concretement l'Islande refuse d'assumer les dépots des épargnants !!!



The Icelandic economy would be crippled if the country had to pay British savers in its stricken banks the full amount that Britain claims is due, the country’s Prime Minister said yesterday.

“I don’t want to make comparisons with Versailles, but the debt burden from this type of arrangement would be terrible,” Geir Haarde told The Times, referring to the 1919 treaty that left Germany laden with debt and fuelled the rise of Nazism. “It’s an enormous number. Everyone has to figure out for themselves whether that would be sustainable.

“There would be no backing in parliament for that kind of a deal,” he added, playing what may be his strongest card: that Iceland simply cannot afford to pay the sums that Britain claims it is obliged to find for foreign victims of its financial meltdown. Three weeks after the collapse of its entire banking system, Iceland is locked in a row with Britain over who should compensate savers. Each side is now careful to use cooler language than in the first eruption of insults, but they still clash on their interpretion of Iceland’s responsibilities under its membership of the European Economic Area.

“We clearly have some obligations in the matter, but the question is to what extent,” said Mr Haarde. “One would expect between two civilised and friendly countries that we can negotiate a solution or find a third party or a court of law to adjudicate.”
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The main dispute is over the losses suffered by the 300,000 British holders of Icesave accounts with Landsbanki, one of three banks now in state hands. Gordon Brown has promised that Britain will guarantee the first £50,000 of each account, but the argument is over whether Iceland is bound by European rules to pay the first £16,500 of that amount. The total that may be liable — more than £4.5 billion — far outstrips the compensation fund set up by Icelandic banks, perhaps by more than 50 times, some officials say.

If the banks cannot pay, a further question is whether the obligation falls on the Icelandic Government.

Mr Haarde said that there were practical limits to what his Government could pay. The total guaranteed is nearly half of Iceland’s gross domestic product last year, whereas the amount in the banks’ fund is less than 1 per cent, officials suggest. Iceland has also instructed lawyers to investigate British actions, which it claims undermined the banks: namely, the use of terrorism laws to freeze Landsbanki assets, and a separate move to take into administration the British arm of Kaupthing, a second bank.

The $2 billion deal agreed with the International Monetary Fund on Friday was a third of the amount Iceland needed, the Prime Minister said. He still hoped that Russia might contribute, along with Nordic countries, although the recent announcement of a Russian loan came to nothing beyond alarming Iceland’s Nato allies. “We talked on my initiative in August, and in Moscow two weeks ago,” Mr Haarde said, “and will resume at a date to be determined.” Any deal “would not change our foreign and security policy”.

Mr Haarde, of the Independence Party, has opposed joining the EU or adopting the euro, but polls this week show that 70 per cent of Icelanders now support EU membership, while businesses argue that the volatility of the krona is intolerable.

In what appears to be a softening of his position, Mr Haarde said that while neither the euro nor the EU offered a solution to the immediate crisis, “in more calm waters, several years ahead, we might discuss it”.

Iceland’s desire to retain control of its 200-mile fishing zone — where it has managed stocks well, unlike the EU’s Common Fisheries Policy — remained the biggest single obstacle, he said.

The Prime Minister maintained that “within two years or so we will have the economy back on a sustainable path”, but added: “I don’t think international banking will become a major industry again here soon.”

http://business.timesonline.co.uk/tol/business/economics/article5042460.ece

Cet article est une extrêmement mauvaise nouvelle. Il semble clair que l'Islande est dans l'impossibilité totale d'assumer ses responsabilités vis-à-vis des 300.000 épargnants du Royaume-Uni. Alors, pour les 10 ou 20.000 Belges, autant dire qu'il n'y a pas beaucoup d'espoir.

L'économie islandaise serait paralysé si le pays a dû payer les épargnants britanniques dans ses banques frappées par la totalité du montant que la Grande-Bretagne est due revendications, le pays le Premier ministre a dit hier.

"Je ne veux pas de faire des comparaisons avec Versailles, mais le fardeau de la dette de ce type d'arrangement serait terrible", a déclaré Geir Haarde, The Times, se référant au traité de 1919 qui ont quitté l'Allemagne en charge de la dette et alimenté la montée du nazisme. «C'est un très grand nombre. Tout le monde doit savoir que pour eux-mêmes qui serait durable.

"Il n'y aurait pas de soutien au Parlement pour ce genre de traiter", at-il ajouté, en jouant ce que mai est la plus forte carte son: que l'Islande ne peut tout simplement pas les moyens de payer les sommes que la Grande-Bretagne prétend qu'il est obligé de trouver pour les victimes de sa fusion. Trois semaines après l'effondrement de l'ensemble de son système bancaire, l'Islande est enfermé dans une rangée avec la Grande-Bretagne sur qui devrait compenser les épargnants. Chaque partie est maintenant prudent d'utiliser la langue glacière que dans la première éruption d'insultes, mais ils restent sur leur affrontement interpretion de l'Islande responsabilités en vertu de sa qualité de membre de l'Espace économique européen.

"Nous avons clairement certaines obligations en la matière, mais la question est de savoir dans quelle mesure", a déclaré M. Haarde. "On aurait pu s'attendre à civilisée entre deux pays amis et que nous pouvons négocier une solution ou trouver un tiers ou un tribunal de statuer."
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Le principal différend est sur les pertes subies par la British 300.000 titulaires de comptes avec Icesave Landsbanki, l'un des trois banques à présent aux mains de l'Etat. Gordon Brown a promis que la Grande-Bretagne sera la première garantie de £ 50.000 de chaque compte, mais l'argument est de savoir si l'Islande est lié par des règles européennes de payer la première £ 16,500 de ce montant. Le montant total qui peut être tenue responsable mai - plus de £ 4,5 milliards - dépasse de loin le fonds d'indemnisation mis en place par les banques islandaises, peut-être de plus de 50 fois, certains fonctionnaires dire.

Si les banques ne peuvent pas payer, une autre question est de savoir si l'obligation tombe sur le Gouvernement islandais.

M. Haarde a dit qu'il y avait des limites à ce que son gouvernement pouvait payer. Le montant total garanti est près de la moitié de l'Islande du produit intérieur brut l'année dernière, alors que le montant dans les banques du fonds est inférieure à 1 pour cent, les fonctionnaires donnent à penser. L'Islande a également été chargée d'enquêter sur les avocats britanniques actions, qui selon elle sapé les banques, à savoir le recours à des lois antiterroristes pour geler les avoirs Landsbanki, et un passage à prendre en administration de la branche britannique de KAUPTHING, une deuxième banque.

2 milliards de dollars traiter d'accord avec le Fonds monétaire international le vendredi a été un tiers du montant nécessaire Islande, a déclaré le Premier ministre. Il reste à espérer que la Russie pourrait contribuer, avec les pays nordiques, bien que l'annonce récente d'un prêt de Russie a rien au-delà de alarmante de l'Islande alliés de l'OTAN. "Nous avons parlé à mon initiative, en août, et à Moscou il ya deux semaines", a dit M. Haarde, et reprendra à une date à déterminer. "Tout marché" ne changera pas notre politique étrangère et de sécurité ".

M. Haarde, du Parti de l'indépendance, s'est opposé à l'adhésion à l'UE ou de l'adoption de l'euro, mais cette semaine, les sondages montrent que 70 pour cent des Islandais prennent désormais en charge l'adhésion à l'UE, tandis que les entreprises font valoir que la volatilité de la couronne est intolérable.

Dans ce qui semble être un adoucissement de sa position, M. Haarde a déclaré que, bien que ni l'euro ni l'UE a proposé une solution à la crise immédiate ", dans des eaux plus calmes, plusieurs années à venir, nous pourrions en discuter».

Islande de la volonté de conserver le contrôle de ses 200 milles la zone de pêche - où il a géré les stocks et, à la différence de l'Union européenne politique commune de la pêche - est resté le plus gros obstacle, dit-il.

Le Premier ministre a affirmé que "dans un délai de deux ans ou si nous aurons l'économie sur une trajectoire viable", mais a ajouté: «Je ne pense pas que bancaire international va devenir une importante industrie de nouveau ici bientôt".

REYKJAVIK, 30 octobre (Reuters) - Le Premier ministre islandais Geir Haarde a déclaré jeudi que le coût total de la crise bancaire pour le pays pourrait atteindre 1.100 milliards de couronnes islandaises (7,3 milliards d'euros), soit 85% du PIB. Selon un communiqué publié par les services du Premier ministre, Haarde a dit au Parlement que le déficit budgétaire de 2009 risquait d'atteindre les 10% du PIB, poussant la dette brute, qui représentait 29% du Produit intérieur brut à la fin 2007, à plus de 100% d'ici la fin 2009.

cette déclaration semble plutôt être un appel du pied aux prêteurs éventuels.

''vous voulez que je vous rembourse ? OK ! Prêtez-moi l'argent nécessaire alors''

il ne faut pas avoir fait 'math sup' pour comprendre que l'Islande n'a pas la possibilité de faire face.
Dès lors plutôt que de l'enfoncer il est du devoir du reste du monde (fmi et autres ?)de lui venir en aide.
nous en sortirons tous gagnants.

lu dans ce forum :
l'Autriche (et d'autres) auraient prêté à l'Islande les sommes permettant le rembooursement des déposants K.
infox ?

2008 10 29 dans 'presse' par petitpas est la source de mon précédent message

la question est : comment les épargnants de k (de ces pays) s ont-ils parvenus à convaincre leurs dirigeants ?

d'autre part, notre sort traînerait pour cause de reprise éventuelle d'où la mise en veilleuse de la possibilité de prêt à l'Islande.

Je ne veux pas vous rassurer inutilement, mais :
- l'histoire avec la Grande-Bretagne est tout à fait différent, comme l'a dit premier Haarde dans son interview avec la journaliste de Le Monde. Rappellez-vous que dans cet interview Haarde avait dit "Heureusement, une solution a été trouvé." Peut-être que le comité K vous apportera plus de détails sur cette soi-disant solution lundi prochain après leur visite chez l'ambassadeur de l'Islande.
- deuxièment les 10.000 épargnants de Kaupthing Finlande ont retrouvé TOUTE leur épargne y compris les intérêts après que l'Islande a reçu un prêt octroyé par 3 banques avec une garantie de l'état de la Finlande
- troisièmement, les clients Icesave en Hollande ont touché 20.000 EUR max par épargnant après que le gouvernement Hollandais avait donné un prêt à l'Islande.
- quatrièmement, il s'agit d'un prêt de 3,9 Miljard d'Euro. Nous parlons de 300 à 350 Millions d'Euro pour la Belgique-Luxembourg.

Bref, ne soyez pas si pessimiste et sachez que l'Iceland reproche à l'Angleterre d'avoir mis à plat leur système financier après avoir saisi tous les avoirs des sociétés icelandaises en UK.

Il SUFFIT que la Belgique se porte garante de la valeur de nos dépôts et la situation est IMMEDIATEMENT dégelée!

Ensuite l'Islande aura une dette envers l'état belge.

Je ne sais aps ce qu'on attend...

guilders a écrit:Il SUFFIT que la Belgique se porte garante de la valeur de nos dépôts et la situation est IMMEDIATEMENT dégelée!

Ensuite l'Islande aura une dette envers l'état belge.

Je ne sais aps ce qu'on attend...

Oui en effet et même pas pour la totalité des 600.000.000 . Luxembourg se porte garante pour 300.000.000 euros (argent qu'ils
perdraient quand même via l'AGDL) et la Belgique pour l'autre 300.000.000.
D'avoir 2 pays impacté ce n'est qu'un advantage dans ce cas ici.
Et on est sauvé à moitié prix et personne ne perd son argent.
Je pense qu'ils attendent un repreneur pour pouvoir récupérer un peu de cet argent.

absolument janverf, et 300M€ c'est TRES PEU comparé à ce qui a été injecté dans les autres banques, c'est d'ailleurs ce qui est le plus choquant, qu'on nous laisse sur le carreau alors que le geste à fournir est si peu..

et quand on entend les propos de cet "imbécile" de Di Rupo qui veut que l'on injecte des sous dans les entreprises wallonnes, il est grand temps que notre problème soit réglé, sinon lorsque le politique sera prêt à se bouger, comme par hasard il nosu dira: ah, c dommage, on voulait renflouer mais les caisses sont vides!

KaupthingNL a écrit:Je ne veux pas vous rassurer inutilement, mais :
- l'histoire avec la Grande-Bretagne est tout à fait différent, comme l'a dit premier Haarde dans son interview avec la journaliste de Le Monde. Rappellez-vous que dans cet interview Haarde avait dit "Heureusement, une solution a été trouvé." Peut-être que le comité K vous apportera plus de détails sur cette soi-disant solution lundi prochain après leur visite chez l'ambassadeur de l'Islande.
- deuxièment les 10.000 épargnants de Kaupthing Finlande ont retrouvé TOUTE leur épargne y compris les intérêts après que l'Islande a reçu un prêt octroyé par 3 banques avec une garantie de l'état de la Finlande
- troisièmement, les clients Icesave en Hollande ont touché 20.000 EUR max par épargnant après que le gouvernement Hollandais avait donné un prêt à l'Islande.
- quatrièmement, il s'agit d'un prêt de 3,9 Miljard d'Euro. Nous parlons de 300 à 350 Millions d'Euro pour la Belgique-Luxembourg.

Bref, ne soyez pas si pessimiste et sachez que l'Iceland reproche à l'Angleterre d'avoir mis à plat leur système financier après avoir saisi tous les avoirs des sociétés icelandaises en UK.

La réponse de Reynders à la Chambre est très claire : la seule solution envisagée à ce jour est une reprise éventuelle de K Lux ! Cela fait 3 semaines que des belges ont été spoliés et que fait le gouvernement belge ? Il se réunit en kern pour "aider" le Congo à "pacifier" une région en guerre depuis des décennies et le tout, aux frais du contribuable belge. AH AH

mais évidemment puisque les medias ont relégué l'info que la crise bancaire était terminée!!!
il faut conjointement des actions pour réveiller l'opinion public, sensibiliser les medias et les avoir avec nous
ET mettre nos politiques au pied du mur sur base de la lettre de notre ami Guy Kleynen .

Je le redis sur tous les posts : une publication dans TOUS les journaux de cete lettre avec une demande de réponse et action de la part des 20.000 épargnants à nos gouvernants, A CE MOMENT, ils ne pourront se dérober de leurs responsabilités!

est-ce que tous les autres pays européens pour lesquels une solution a été trouvée se sont contentés de pleurniche ouin ouin ouin c'est la faute d'un autre je ne peux rien faire?
La Belgique doit-elle être aux yeux de l'Europe et du Monde une nouvelle fois la risée de tous?