2008-11-12 15 h 51 :: teleboerse.de :: Grande nervosité en Islande
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Mittwoch, 12. November 2008 - 15:51
Staatschef rastet aus
Große Nervosität in Island
Das Ausbleiben von Krediten an Island zur Rettung vor einem Staatsbankrott setzt die politische Führung in Reykjavik immer massiver unter Druck. Wie die Osloer Zeitung "Klassekampen" am Mittwoch berichtete, soll sich Staatspräsident Ólafur Ragnar Grímsson vor Botschaftern im Zorn sogar für eine Einladung an Russland zur Nutzung des früheren US-Militärstützpunkts Keflavik ausgesprochen haben.
Das Staatsoberhaupt des kleinen NATO-Landes im Nordatlantik sagte nach einer Mitschrift des norwegischen Botschafters bei einem Essen, wegen der bislang ausgebliebenen Hilfe im Gefolge der Finanzkrise müsse man "neue Freunde" suchen. Grímsson sei dabei gegenüber Großbritannien "direkt beleidigend" geworden, hieß es in dem vertraulichen Bericht. Er sagte: "Der Nordatlantik ist für den Norden, die USA und Großbritannien wichtig. Das vergessen diese Länder jetzt offenbar." Grímssons Kanzlei wollte sich zu den Zitaten nicht äußern.
Die Briten gelten in Reykjavik als Haupt-Drahtzieher bei der Verzögerung eines angekündigten und als lebenswichtig geltenden Kredits vom Internationalen Währungsfonds (IWF). Die endgültige Bewilligung von 2,1 Mrd. Dollar (1,7 Mrd. Euro) wurde vom IWF zum dritten Mal verschoben. Während der britische Premierminister Gordon Brown die Vorwürfe aus Island zurückwies, kam nach Angaben der Zeitung "Financial Times" eine indirekte Bestätigung aus den Niederlanden.
Island verweigert Garantien
Das Blatt zitierte den dortigen Finanzminister Wouter Bos aus dem Fernsehen mit der Erklärung, seine Regierung werde den IWF-Kredit so lange blockieren, bis der Streit über ausländische Einlagen bei isländischen Banken gelöst ist." Reykjavik verweigert bisher Garantien auch für nicht-isländische Anleger bei den zwangsverstaatlichen Banken. Bos sagte laut "Financial Times" weiter: "Glücklicherweise haben wir so mächtige Verbündete wie Großbritannien und Deutschland mit denselben Problemen gegenüber Island."
In Großbritannien und den Niederlanden sind 230.000 Privatkunden der früheren Internetbank Icesaves betroffen. In Deutschland warten etwa 30.000 Anleger bei der früher führenden isländischen Bank Kaupthing auf die Klärung ihrer Ansprüche. Die Einlagen sollen etwa 300 Millionen Euro betragen.
Grande nervosité en Islande
L'absence de crédits à l'Islande à la délivrance d'un Etat à la faillite, la politique de plus en plus massif à Reykjavik sous pression. Comment les journaux d'Oslo "Klassekampen" a rapporté le mercredi, le président de la République doit se Ólafur Ragnar Grímsson il ya même des ambassadeurs en colère pour une invitation à la Russie pour l'exploitation de l'ancienne base militaire américaine Keflavik en considération.
Le chef de l'État du petit pays de l'OTAN dans l'Atlantique Nord a déclaré après une transcription de l'ambassadeur norvégien, lors d'un repas, jusqu'à présent, en raison de la non-assistance à la suite de la crise financière, il faut "de nouveaux amis" Rechercher. Grímsson Royaume-Uni est en vis-à-vis "directement insultant" devenu peut-on lire dans le rapport confidentiel. Il a déclaré: «L'Atlantique Nord est pour le Nord, les États-Unis et le Royaume-Uni important. Le oublier ces pays semblent maintenant." Grímsson voulait se greffe sur les citations ne pas prononcer.
Les Britanniques sont à Reykjavik, en tant que fils à couper dans le délai d'un annoncées et essentiel de crédit en vigueur du Fonds monétaire international (FMI). L'autorisation finale de 2,1 milliards de dollars (1,7 milliards d'euros) a été par le FMI pour la troisième fois reportée. Alors que le Premier ministre britannique Gordon Brown l'a rejeté des accusations de l'Islande, a, selon le journal "Financial Times", une confirmation indirecte des Pays-Bas.
Islande refusé de garanties
Le journal a cité le ministre des Finances y Wouter Bos, de la télévision avec la déclaration que son gouvernement serait prêt du FMI de bloquer plus longtemps, jusqu'à ce que le différend sur les dépôts étrangers dans les banques islandaises est résolu. "Reykjavik refusé jusqu'à présent de garanties de non-islandaise pour les investisseurs zwangsverstaatlichen les banques. Bos a dit le "Financial Times", plus loin: "Heureusement, nous avons aussi de puissants alliés comme le Royaume-Uni et l'Allemagne avec les mêmes problèmes de l'Islande."
Au Royaume-Uni et aux Pays-Bas sont 230.000 clients privés de l'ancienne banque Icesaves concernés. En Allemagne, les investisseurs attendent à environ 30.000 le passé leader dans la banque islandaise Kaupthing sur la clarification de leurs droits. Les dépôts doivent être à environ 300 millions d'euros.
Mittwoch, 12. November 2008 - 15:51
Staatschef rastet aus
Große Nervosität in Island
Das Ausbleiben von Krediten an Island zur Rettung vor einem Staatsbankrott setzt die politische Führung in Reykjavik immer massiver unter Druck. Wie die Osloer Zeitung "Klassekampen" am Mittwoch berichtete, soll sich Staatspräsident Ólafur Ragnar Grímsson vor Botschaftern im Zorn sogar für eine Einladung an Russland zur Nutzung des früheren US-Militärstützpunkts Keflavik ausgesprochen haben.
Das Staatsoberhaupt des kleinen NATO-Landes im Nordatlantik sagte nach einer Mitschrift des norwegischen Botschafters bei einem Essen, wegen der bislang ausgebliebenen Hilfe im Gefolge der Finanzkrise müsse man "neue Freunde" suchen. Grímsson sei dabei gegenüber Großbritannien "direkt beleidigend" geworden, hieß es in dem vertraulichen Bericht. Er sagte: "Der Nordatlantik ist für den Norden, die USA und Großbritannien wichtig. Das vergessen diese Länder jetzt offenbar." Grímssons Kanzlei wollte sich zu den Zitaten nicht äußern.
Die Briten gelten in Reykjavik als Haupt-Drahtzieher bei der Verzögerung eines angekündigten und als lebenswichtig geltenden Kredits vom Internationalen Währungsfonds (IWF). Die endgültige Bewilligung von 2,1 Mrd. Dollar (1,7 Mrd. Euro) wurde vom IWF zum dritten Mal verschoben. Während der britische Premierminister Gordon Brown die Vorwürfe aus Island zurückwies, kam nach Angaben der Zeitung "Financial Times" eine indirekte Bestätigung aus den Niederlanden.
Island verweigert Garantien
Das Blatt zitierte den dortigen Finanzminister Wouter Bos aus dem Fernsehen mit der Erklärung, seine Regierung werde den IWF-Kredit so lange blockieren, bis der Streit über ausländische Einlagen bei isländischen Banken gelöst ist." Reykjavik verweigert bisher Garantien auch für nicht-isländische Anleger bei den zwangsverstaatlichen Banken. Bos sagte laut "Financial Times" weiter: "Glücklicherweise haben wir so mächtige Verbündete wie Großbritannien und Deutschland mit denselben Problemen gegenüber Island."
In Großbritannien und den Niederlanden sind 230.000 Privatkunden der früheren Internetbank Icesaves betroffen. In Deutschland warten etwa 30.000 Anleger bei der früher führenden isländischen Bank Kaupthing auf die Klärung ihrer Ansprüche. Die Einlagen sollen etwa 300 Millionen Euro betragen.
Grande nervosité en Islande
L'absence de crédits à l'Islande à la délivrance d'un Etat à la faillite, la politique de plus en plus massif à Reykjavik sous pression. Comment les journaux d'Oslo "Klassekampen" a rapporté le mercredi, le président de la République doit se Ólafur Ragnar Grímsson il ya même des ambassadeurs en colère pour une invitation à la Russie pour l'exploitation de l'ancienne base militaire américaine Keflavik en considération.
Le chef de l'État du petit pays de l'OTAN dans l'Atlantique Nord a déclaré après une transcription de l'ambassadeur norvégien, lors d'un repas, jusqu'à présent, en raison de la non-assistance à la suite de la crise financière, il faut "de nouveaux amis" Rechercher. Grímsson Royaume-Uni est en vis-à-vis "directement insultant" devenu peut-on lire dans le rapport confidentiel. Il a déclaré: «L'Atlantique Nord est pour le Nord, les États-Unis et le Royaume-Uni important. Le oublier ces pays semblent maintenant." Grímsson voulait se greffe sur les citations ne pas prononcer.
Les Britanniques sont à Reykjavik, en tant que fils à couper dans le délai d'un annoncées et essentiel de crédit en vigueur du Fonds monétaire international (FMI). L'autorisation finale de 2,1 milliards de dollars (1,7 milliards d'euros) a été par le FMI pour la troisième fois reportée. Alors que le Premier ministre britannique Gordon Brown l'a rejeté des accusations de l'Islande, a, selon le journal "Financial Times", une confirmation indirecte des Pays-Bas.
Islande refusé de garanties
Le journal a cité le ministre des Finances y Wouter Bos, de la télévision avec la déclaration que son gouvernement serait prêt du FMI de bloquer plus longtemps, jusqu'à ce que le différend sur les dépôts étrangers dans les banques islandaises est résolu. "Reykjavik refusé jusqu'à présent de garanties de non-islandaise pour les investisseurs zwangsverstaatlichen les banques. Bos a dit le "Financial Times", plus loin: "Heureusement, nous avons aussi de puissants alliés comme le Royaume-Uni et l'Allemagne avec les mêmes problèmes de l'Islande."
Au Royaume-Uni et aux Pays-Bas sont 230.000 clients privés de l'ancienne banque Icesaves concernés. En Allemagne, les investisseurs attendent à environ 30.000 le passé leader dans la banque islandaise Kaupthing sur la clarification de leurs droits. Les dépôts doivent être à environ 300 millions d'euros.
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