2008-10-31 :: Groupe K : Compte-rendu réunion avec le Gouvernement Luxembourgeois
+2
alan carter
jfbeck
6 participants
Page 1 sur 1
2008-10-31 :: Groupe K : Compte-rendu réunion avec le Gouvernement Luxembourgeois
COMPTE-RENDU ENTRETIEN DU 31/10/2008 DE 2 REPRESENTANTS DU GROUPE K AVEC LE PREMIER MINISTRE LUXEMBOURGEOIS ET LE MINISTRE DU TRESOR ET DU BUDGET LUXEMBOURGEOIS.
Le 31/10/08, un groupe de 5 personnes (2 représentants de Test-Achats, 1 représentant d’Interel et 2 membres du Groupe K) ont été reçus par Monsieur le Ministre du Trésor et du Budget, Luc Frieden, rejoint en cours d’entretien par le Premier Ministre Luxembourgeois, Jean-Claude Juncker. Etaient également présents : Monsieur l’Ambassadeur du Grand-Duché de Luxembourg auprès du Royaume de Belgique, un conseiller du Premier Ministre Luxembourgeois et une conseillère du Premier Ministre belge.
Nous avons été reçus durant 1H30 d’un entretien constructif et globalement rassurant, dont voici un compte-rendu :
- Le représentant d’Interel, à l’initiative de cet entretien, ainsi que les représentants de Test-Achats (TA) ont formulé les remerciements d’usage ;
- Le représentant de TA a ensuite exposé les motifs à l’origine de la pétition (voir communiqué de presse que vous pouvez trouver sur le site de TA) ;
- Le même représentant a remis cette pétition électronique, ainsi qu’une lettre adressée au Premier Ministre luxembourgeois (vous pouvez trouver cette lettre sur le site de TA) ;
- Les membres du Groupe K ont ensuite commencé leur intervention en rappelant le message, déjà adressé à l’Ambassadeur, sous la forme d’une mise en garde, et non d’une menace, sur la rapidité du dégel des comptes, il ne faut pas que cette situation s’éternise davantage, car il y a derrière ces 2 représentants, 20.000 épargnants qui ne peuvent plus attendre indéfiniment – un drame économique et social, impliquant des dizaines de milliers de personnes, pourrait découler d’une faillite de la banque ;
- Nous avons également rappelé que certains épargnants sont dans des situations financières très précaires ;
- que nous nous étonnons de la lenteur du traitement de cette crise en comparaison avec d’autres banques (Fortis et Dexia) et le manque de communication de la part du Gouvernement luxembourgeois ;
- que la plupart des autres pays européens ont déjà résolu le problème de la filiale de Kaupthing dans leur pays ;
Monsieur le Ministre du Trésor et du Budget luxembourgeois a affirmé, en accord avec le chef du Gouvernement luxembourgeois, le Premier Ministre, Jean-Claude Juncker :
- que les Gouvernements luxembourgeois et belge travaillent en étroite collaboration ;
- qu’il reconnaît le manque de communication officielle du Gouvernement luxembourgeois – selon lui, il y a une raison, il veut laisser toutes les chances pour la reprise, en rappelant, par ailleurs, la communication étroite avec PWC ;
- il s’engage, suite à notre demande, de communiquer davantage à l’avenir – ce qu’il a fait à l’issue de l’entretien (vous trouverez plus bas les détails des déclarations faites à la presse) ;
- qu’il comprend parfaitement le côté dramatique de la situation ;
- qu’il reconnaît la responsabilité particulière du Gouvernement luxembourgeois ;
- qu’il s’agit d’une situation différente par rapport aux autres banques, car la Kaupthing ne fonctionne désormais plus sur le mode normal des banques – elle a été placée sous le régime de sursis de paiement et la maison mère a été nationalisée ;
- que cela a deux conséquence : 1) une positive, la mise sous régime de sursis de paiement est une mesure de protection, et 2) négative, on doit faire face à une différence de traitement (il n’y a plus d’actionnaire ou l’actionnaire, c’est l’Etat islandais) ;
- qu’il confirme qu’une « Data Room » a été ouverte dans le courant de la semaine dernière qui permette à tous les candidats repreneurs de se faire une idée précise de la teneur et de la valeur de la banque, en soulignant qu’il y a une valeur nominale de la banque qui diffère de la valeur que les éventuels repreneurs peuvent mettre – il ne nous a pas précisé la date de fermeture de cette « Data Room » ;
- qu’il sera plus aisé pour eux de déterminer quel peut être leur apport dans la reprise de la banque quand ils auront en face d’eux un repreneur potentiel, donc un actionnaire potentiel et dans ce scénario il n’a pas exclu une thérapie de choc sous forme d’une garantie de l’Etat luxembourgeois ;
- que le repreneur doit acheter la banque dans son ensemble ;
- qu’il confirme que c’est une banque luxembourgeoise avec une succursale en Belgique, il reconnaît donc la responsabilité luxembourgeoise de la CSSF en terme de surveillance et de l’AGDL en terme de garantie des dépôts ;
- qu’il reconnaît qu’il y a beaucoup de clients belges, le Gouvernement luxembourgeois se sent donc co-responsable avec le Gouvernement belge, il s’est occupé quotidiennement de la crise – l’Europe fonctionne, en réponse à TA ;
- qu’il privilégie le scénario d’une reprise, mais, afin ne pas être pris de cours si faillite il devait y avoir, il envisage parallèlement le scénario d’une intervention conjointe avec le Gouvernement belge, en plus de l’AGDL (et cela, sans jouer au petit jeu de quelle pays va payer, il y aura donc un partage du fardeau) ;
- qu’il prend un engagement politique pour faire plus que les 20.000 € en cas de faillite, sans pour autant en préciser les modalités ;
- que le Gouvernement luxembourgeois conditionne cet engagement politique (d’une intervention en surplus de l’AGDL) à l’établissement de la structure de la clientèle Kaupthing (ndlr : cela n’a rien à voir avec le profil de l’épargnant) ;
- qu’il va travailler dans la rapidité, il ne faudra pas des mois ou des années pour régler la crise – une solution doit être trouvée autour de la mi-novembre pour un repreneur potentiel et pour fin novembre pour l’ensemble du problème ;
- qu’il y avait d’autres problèmes que la créance islandaise (dont le montant exact n’a pu nous être communiqué), mais sans en dire davantage ;
Derniers points à noter :
- en marge de l’entretien, le Ministre Frieden, nous a confirmé que la lettre destinée à S.A.R le Grand-Duc Henri de Luxembourg, lui a été personnellement transmise par ce dernier ;
- dans la foulée, nous lui avons remis 2 courriers lui adressés et 1 courrier adressé au Premier Ministre luxembourgeois ;
- à la suite de l’entretien, nous avons demandé à la conseillère du Premier Ministre belge, s’il était possible d’organiser sous peu un rendez-vous avec Monsieur Leterme – nous essaierons de concrétiser cela dans les prochains jours ;
- à la fin de l’entrevue, le représentant de TA nous a informé que les prochaines étapes sont la visite de plusieurs commissaires européens – nous avons demandé d’en être tenu informé, et, le cas échéant, de pouvoir s’y joindre ;
Pour le bon ordre de ce compte-rendu, voici les déclarations du Ministre du Trésor et du Budget luxembourgeois faites à la presse à l’issue de l’entretien :
- « actuellement, les chiffres de cet établissement bancaire sont en train d’être examinés par des repreneurs éventuels. Ils ne sont pas nombreux, mais il y a en plusieurs qui sont en train d’examiner les livres de la banque. C’est une solution que nous privilégions, car elle permettrait à tous les épargnants de retrouver leurs avoirs et l’entièretés de leurs avoirs », Luc Frieden, RTL-TVI, JT 19H30 31/10/08
- « ici, il n’y a pas eu jusqu’à présent d’actionnaire potentiel qui a dit nous sommes prêts à acheter la banque, mais ces travaux continuent et je crois qu’ils ne vont pas continuer longtemps parce qu’on trouvera sous peu la solution. Ou bien la solution de reprise, ou bien, une solution qui rembourse un montant aux épargnants qui va au-delà de ce qui est prévu par la loi européenne et la loi luxembourgeoise », Luc Frieden, RTBF, JT 19H30 31/10/08
- « le fait que la banque luxembourgeoise, et donc également sa succursale belge, soit en sursis de paiement ne signifie pas que la banque soit en faillite. C’est une période dans laquelle, il faut d’abord essayer de faire revivre la banque. Et donc, le Gouvernement luxembourgeois, tout comme d’ailleurs le Gouvernement belge, privilégient une solution dans laquelle un repreneur puisse être trouvé pour cette banque. » Luc Frieden, RTBF, JP 18H 31/10/08
- « Le système de garantie des dépôts tel qu’il est prévu trouverait application, c’est-à-dire le montant des 20.000 € par client de la banque. Et qu’au-delà, les deux Gouvernements belge et luxembourgeois essaieront de trouver une solution pour que nous puissions garantir davantage le montant qui découle du système de garantie actuellement en place. » Luc Frieden, RTBF, JP 18H 31/10/08
Le 31/10/08, un groupe de 5 personnes (2 représentants de Test-Achats, 1 représentant d’Interel et 2 membres du Groupe K) ont été reçus par Monsieur le Ministre du Trésor et du Budget, Luc Frieden, rejoint en cours d’entretien par le Premier Ministre Luxembourgeois, Jean-Claude Juncker. Etaient également présents : Monsieur l’Ambassadeur du Grand-Duché de Luxembourg auprès du Royaume de Belgique, un conseiller du Premier Ministre Luxembourgeois et une conseillère du Premier Ministre belge.
Nous avons été reçus durant 1H30 d’un entretien constructif et globalement rassurant, dont voici un compte-rendu :
- Le représentant d’Interel, à l’initiative de cet entretien, ainsi que les représentants de Test-Achats (TA) ont formulé les remerciements d’usage ;
- Le représentant de TA a ensuite exposé les motifs à l’origine de la pétition (voir communiqué de presse que vous pouvez trouver sur le site de TA) ;
- Le même représentant a remis cette pétition électronique, ainsi qu’une lettre adressée au Premier Ministre luxembourgeois (vous pouvez trouver cette lettre sur le site de TA) ;
- Les membres du Groupe K ont ensuite commencé leur intervention en rappelant le message, déjà adressé à l’Ambassadeur, sous la forme d’une mise en garde, et non d’une menace, sur la rapidité du dégel des comptes, il ne faut pas que cette situation s’éternise davantage, car il y a derrière ces 2 représentants, 20.000 épargnants qui ne peuvent plus attendre indéfiniment – un drame économique et social, impliquant des dizaines de milliers de personnes, pourrait découler d’une faillite de la banque ;
- Nous avons également rappelé que certains épargnants sont dans des situations financières très précaires ;
- que nous nous étonnons de la lenteur du traitement de cette crise en comparaison avec d’autres banques (Fortis et Dexia) et le manque de communication de la part du Gouvernement luxembourgeois ;
- que la plupart des autres pays européens ont déjà résolu le problème de la filiale de Kaupthing dans leur pays ;
Monsieur le Ministre du Trésor et du Budget luxembourgeois a affirmé, en accord avec le chef du Gouvernement luxembourgeois, le Premier Ministre, Jean-Claude Juncker :
- que les Gouvernements luxembourgeois et belge travaillent en étroite collaboration ;
- qu’il reconnaît le manque de communication officielle du Gouvernement luxembourgeois – selon lui, il y a une raison, il veut laisser toutes les chances pour la reprise, en rappelant, par ailleurs, la communication étroite avec PWC ;
- il s’engage, suite à notre demande, de communiquer davantage à l’avenir – ce qu’il a fait à l’issue de l’entretien (vous trouverez plus bas les détails des déclarations faites à la presse) ;
- qu’il comprend parfaitement le côté dramatique de la situation ;
- qu’il reconnaît la responsabilité particulière du Gouvernement luxembourgeois ;
- qu’il s’agit d’une situation différente par rapport aux autres banques, car la Kaupthing ne fonctionne désormais plus sur le mode normal des banques – elle a été placée sous le régime de sursis de paiement et la maison mère a été nationalisée ;
- que cela a deux conséquence : 1) une positive, la mise sous régime de sursis de paiement est une mesure de protection, et 2) négative, on doit faire face à une différence de traitement (il n’y a plus d’actionnaire ou l’actionnaire, c’est l’Etat islandais) ;
- qu’il confirme qu’une « Data Room » a été ouverte dans le courant de la semaine dernière qui permette à tous les candidats repreneurs de se faire une idée précise de la teneur et de la valeur de la banque, en soulignant qu’il y a une valeur nominale de la banque qui diffère de la valeur que les éventuels repreneurs peuvent mettre – il ne nous a pas précisé la date de fermeture de cette « Data Room » ;
- qu’il sera plus aisé pour eux de déterminer quel peut être leur apport dans la reprise de la banque quand ils auront en face d’eux un repreneur potentiel, donc un actionnaire potentiel et dans ce scénario il n’a pas exclu une thérapie de choc sous forme d’une garantie de l’Etat luxembourgeois ;
- que le repreneur doit acheter la banque dans son ensemble ;
- qu’il confirme que c’est une banque luxembourgeoise avec une succursale en Belgique, il reconnaît donc la responsabilité luxembourgeoise de la CSSF en terme de surveillance et de l’AGDL en terme de garantie des dépôts ;
- qu’il reconnaît qu’il y a beaucoup de clients belges, le Gouvernement luxembourgeois se sent donc co-responsable avec le Gouvernement belge, il s’est occupé quotidiennement de la crise – l’Europe fonctionne, en réponse à TA ;
- qu’il privilégie le scénario d’une reprise, mais, afin ne pas être pris de cours si faillite il devait y avoir, il envisage parallèlement le scénario d’une intervention conjointe avec le Gouvernement belge, en plus de l’AGDL (et cela, sans jouer au petit jeu de quelle pays va payer, il y aura donc un partage du fardeau) ;
- qu’il prend un engagement politique pour faire plus que les 20.000 € en cas de faillite, sans pour autant en préciser les modalités ;
- que le Gouvernement luxembourgeois conditionne cet engagement politique (d’une intervention en surplus de l’AGDL) à l’établissement de la structure de la clientèle Kaupthing (ndlr : cela n’a rien à voir avec le profil de l’épargnant) ;
- qu’il va travailler dans la rapidité, il ne faudra pas des mois ou des années pour régler la crise – une solution doit être trouvée autour de la mi-novembre pour un repreneur potentiel et pour fin novembre pour l’ensemble du problème ;
- qu’il y avait d’autres problèmes que la créance islandaise (dont le montant exact n’a pu nous être communiqué), mais sans en dire davantage ;
Derniers points à noter :
- en marge de l’entretien, le Ministre Frieden, nous a confirmé que la lettre destinée à S.A.R le Grand-Duc Henri de Luxembourg, lui a été personnellement transmise par ce dernier ;
- dans la foulée, nous lui avons remis 2 courriers lui adressés et 1 courrier adressé au Premier Ministre luxembourgeois ;
- à la suite de l’entretien, nous avons demandé à la conseillère du Premier Ministre belge, s’il était possible d’organiser sous peu un rendez-vous avec Monsieur Leterme – nous essaierons de concrétiser cela dans les prochains jours ;
- à la fin de l’entrevue, le représentant de TA nous a informé que les prochaines étapes sont la visite de plusieurs commissaires européens – nous avons demandé d’en être tenu informé, et, le cas échéant, de pouvoir s’y joindre ;
Pour le bon ordre de ce compte-rendu, voici les déclarations du Ministre du Trésor et du Budget luxembourgeois faites à la presse à l’issue de l’entretien :
- « actuellement, les chiffres de cet établissement bancaire sont en train d’être examinés par des repreneurs éventuels. Ils ne sont pas nombreux, mais il y a en plusieurs qui sont en train d’examiner les livres de la banque. C’est une solution que nous privilégions, car elle permettrait à tous les épargnants de retrouver leurs avoirs et l’entièretés de leurs avoirs », Luc Frieden, RTL-TVI, JT 19H30 31/10/08
- « ici, il n’y a pas eu jusqu’à présent d’actionnaire potentiel qui a dit nous sommes prêts à acheter la banque, mais ces travaux continuent et je crois qu’ils ne vont pas continuer longtemps parce qu’on trouvera sous peu la solution. Ou bien la solution de reprise, ou bien, une solution qui rembourse un montant aux épargnants qui va au-delà de ce qui est prévu par la loi européenne et la loi luxembourgeoise », Luc Frieden, RTBF, JT 19H30 31/10/08
- « le fait que la banque luxembourgeoise, et donc également sa succursale belge, soit en sursis de paiement ne signifie pas que la banque soit en faillite. C’est une période dans laquelle, il faut d’abord essayer de faire revivre la banque. Et donc, le Gouvernement luxembourgeois, tout comme d’ailleurs le Gouvernement belge, privilégient une solution dans laquelle un repreneur puisse être trouvé pour cette banque. » Luc Frieden, RTBF, JP 18H 31/10/08
- « Le système de garantie des dépôts tel qu’il est prévu trouverait application, c’est-à-dire le montant des 20.000 € par client de la banque. Et qu’au-delà, les deux Gouvernements belge et luxembourgeois essaieront de trouver une solution pour que nous puissions garantir davantage le montant qui découle du système de garantie actuellement en place. » Luc Frieden, RTBF, JP 18H 31/10/08
Dernière édition par jfbeck le Dim 16 Nov - 18:23, édité 1 fois
jfbeck- Nombre de messages : 21
Date d'inscription : 12/10/2008
un apport extérieur
L'Echo avait écrit après votre première rencontre que le Luxembourg n'avancerait pas les 300 millions que l'Islande avait promis - et ne semble plus en mesure d'honorer. L'absence - momentanée - de cette somme est-elle un obstacle à une reprise et pourrait-elle être compensée par une autre mesure comme une garantie du gouvernement?
alan carter- Nombre de messages : 60
Age : 62
Date d'inscription : 16/10/2008
Re: 2008-10-31 :: Groupe K : Compte-rendu réunion avec le Gouvernement Luxembourgeois
Oui, cela m'avait également frappé. Pq le luxembourg refuse 'il de mettre la main au portefeuille...... quitte a renvoyer la facture en Islande.....
Je ne comprends pas comment faciliter une reprise des activités si personne ne fait un effort , ni la Belgique , ni le Lux....
Je ne comprends pas comment faciliter une reprise des activités si personne ne fait un effort , ni la Belgique , ni le Lux....
fundee- Nombre de messages : 467
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: 2008-10-31 :: Groupe K : Compte-rendu réunion avec le Gouvernement Luxembourgeois
un truc me trotte en tête depuis hier...
je suis en train de me demander comment se prépare le pret de l'UE à l'islande
si chaque pays de l'UE doit débourser... alors ce serait l'explication du pq ni l'un nin l'autre ne veut passer à la caisse avant l'union.
par contre si l'UE à un trésor de guerre et que le pret est pompé dedans... alors c'est simplement que ni le lux nin le Bel ne veut se montrer faible en passant à la caisse en premier.
toutefois pour moi... c'est au Lux à passer à la caisse pour sauver K
quitte à demander la participation du Gvt Bel en argumentant que le sauvetage concerne beaucoup plus de B que de NL
bon vais m'aérer
je suis en train de me demander comment se prépare le pret de l'UE à l'islande
si chaque pays de l'UE doit débourser... alors ce serait l'explication du pq ni l'un nin l'autre ne veut passer à la caisse avant l'union.
par contre si l'UE à un trésor de guerre et que le pret est pompé dedans... alors c'est simplement que ni le lux nin le Bel ne veut se montrer faible en passant à la caisse en premier.
toutefois pour moi... c'est au Lux à passer à la caisse pour sauver K
quitte à demander la participation du Gvt Bel en argumentant que le sauvetage concerne beaucoup plus de B que de NL
bon vais m'aérer
zpiel- Nombre de messages : 201
Date d'inscription : 10/10/2008
Ce compte rendu permet de canalyser au mieux la réflexion de tous.
Merci au groupe K pour la communication.
Robin14- Nombre de messages : 93
Date d'inscription : 12/10/2008
groupe k - compte rendu réunion avec le gouvernement luxembourgeois
Tout d'abord merci aux 2 représentants du groupe K d'avoir pris sur eux le temps d'assister à cette réunion.
Mais aussi, félicitations car il ne doit pas être évident de se retrouver du jour au lendemain en conversation avec des personnages politiques de 1er plan et d'y amener des revendications claires et justifiées sans verser dans un vocabulaire qui ne saurait être pris autrement que par une entorse à la diplomatie.
La colère est si mauvaise conseillère et si peu communicative.
Vu les réponses apportées et la couverte médiatique qui en a suivi, ce n'a pu être que fructueux sans pour autant verser dans un optimisme débordant.
Mais aussi, félicitations car il ne doit pas être évident de se retrouver du jour au lendemain en conversation avec des personnages politiques de 1er plan et d'y amener des revendications claires et justifiées sans verser dans un vocabulaire qui ne saurait être pris autrement que par une entorse à la diplomatie.
La colère est si mauvaise conseillère et si peu communicative.
Vu les réponses apportées et la couverte médiatique qui en a suivi, ce n'a pu être que fructueux sans pour autant verser dans un optimisme débordant.
geant vert- Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 17/10/2008
Sujets similaires
» 2008-11-13 :: Groupe K : Compte-rendu entretien avec la Ministre islandaise représentant le Gouvernement islandais
» 2008-11-24 :: Groupe K : Compte-rendu de la réunion avec les administrateurs provisoires de la banque Kaupthing
» 2008-11-24 :: Groupe K : Compte-rendu de la réunion avec les administrateurs provisoires de la banque Kaupthing
» 2008-11-15 :: Groupe K : Compte-rendu entretien avec l'Ambassadeur de Luxembourg
» Vos réactions sur: 2008-11-21 :: Groupe K : Compte-rendu entretien avec le Premier Ministre belge, Yves Leterme
» 2008-11-24 :: Groupe K : Compte-rendu de la réunion avec les administrateurs provisoires de la banque Kaupthing
» 2008-11-24 :: Groupe K : Compte-rendu de la réunion avec les administrateurs provisoires de la banque Kaupthing
» 2008-11-15 :: Groupe K : Compte-rendu entretien avec l'Ambassadeur de Luxembourg
» Vos réactions sur: 2008-11-21 :: Groupe K : Compte-rendu entretien avec le Premier Ministre belge, Yves Leterme
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum