Comprend pas le mot "avance"

Bonjour tout le monde,

Je me permets de poster cette question car à vos lectures je n'arrive pas à comprendre le mot "avance" jusqu'à 20.000 € de la part de l'AGDL.

J'avais compris que l'AGDL pompe dans notre compte pour nous rembourser tout simplement. Aucune dépense de leur part, on retrouve notre argent (ou une partie pour ceux >20.000). Seul l'intérêt pour le repreneur diminue vu qu'à chaque fois 20.000 € en moins d'actifs pour la banque (mais d'après ce que j'ai lu sur le forum, c'est surtout la partie private banking qui les intéresse, ils sont conscients que la partie Edge (épargne pour tout individu) ne fera que s'effriter au fur et à mesure des remboursements de l'AGDL).

Bref, le mot avance est juste une définition juridique ou ceux qui ont moins de <20.000 € devra encore rendre des comptes plus tard ??
Autrement dit pour moi : avance = remboursement de ce que j'avais mis chez edge à max 20.000 €

Ce n'est une avance que pour ceux qui ont plus de 20.000€. Pour les autres c'est un remboursement intégral.
En cas de reprise, le compte de ceux qui ont plus de 20.000 € et qui aurait fait appel à L'AGDL sera débité des 20.000 déja reçus, d'où le terme d'avance.

Ok merci pour vos explications également. Je comprends mieux le terme utilisé maintenant.
Bonne soirée

TigerFab a écrit:Bonjour tout le monde,
Aucune dépense de leur part, on retrouve notre argent (ou une partie pour ceux >20.000)

Je ne serait pas aussi affirmatif. Rien nous prouve que (tout) notre argent est resté "physiquement" au lux.

bankrun a écrit:

TigerFab a écrit:Bonjour tout le monde,
Aucune dépense de leur part, on retrouve notre argent (ou une partie pour ceux >20.000)

Je ne serait pas aussi affirmatif. Rien nous prouve que (tout) notre argent est resté "physiquement" au lux.

j'imagine qu'il s'agit d'ironie, si nos avoirs étaient encore réels, les repreneurs seraient très très nombreux.

ce que YL appelle 'difficulté' dans les négociations est bien entendu l'incapacité beluxienne de garantir 100% de nos avoirs.
or il s'agit d'une exigence de la part du repreneur.
pour rappel, le secteur bancaire ne fait pas partie du ''non marchand''.