Nouvelle victime de Kaupthing (Echo du 9/12)
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Nouvelle victime de Kaupthing (Echo du 9/12)
"Le destin de 5ème Saison a basculé en septembre dernier. Le jour où son titre a été introduit sur le Marché libre, l'action Fortis connaissait la plus formidable déculottée de son histoire. Dans la foulée, le placement s'est très mal passé, puisqu'au lieu de la somme de 1,25 million d'euros escomptée - 0,5 million en actions, le solde en obligations -, il a fallu se contenter de 0,18 million. Le " listing sponsor " de l'opération était la banque Kaupthing dont la position est aujourd'hui dangereusement précaire : inutile de dire qu'il n'a pas trop fallu compter sur elle pour l'apport obligataire. " Or nous avions anticipé la mise en Bourse et la levée de fonds sous-jacente en avançant d'un an une organisation d'envergure initialement prévue en 2010 ", explique Camus.
Cette imprudence a lourdement grevé la trésorerie de 5ème Saison, qui s'est retrouvée à court de liquidités. Pour espérer y remédier, une augmentation de capital ou un apport de fonds de 0,75 million d'euros est jugée indispensable. " Nous sommes en négociations avancées avec un investisseur potentiel, mais il souhaite que la situation soit auparavant stabilisée. Si le tribunal nous accorde de pouvoir la geler pendant quelques mois, nous ne serons pas acculés par nos fournisseurs et pourront probablement, au vu des projets programmés, revenir à meilleure fortune ", complète-t-il.
Les modalités d'un éventuel renflouement mériteront d'être suivies de près."
Cette imprudence a lourdement grevé la trésorerie de 5ème Saison, qui s'est retrouvée à court de liquidités. Pour espérer y remédier, une augmentation de capital ou un apport de fonds de 0,75 million d'euros est jugée indispensable. " Nous sommes en négociations avancées avec un investisseur potentiel, mais il souhaite que la situation soit auparavant stabilisée. Si le tribunal nous accorde de pouvoir la geler pendant quelques mois, nous ne serons pas acculés par nos fournisseurs et pourront probablement, au vu des projets programmés, revenir à meilleure fortune ", complète-t-il.
Les modalités d'un éventuel renflouement mériteront d'être suivies de près."
Nicole BOINEM- Nombre de messages : 22
Date d'inscription : 12/10/2008
Re: Nouvelle victime de Kaupthing (Echo du 9/12)
désolé de ne rien comprendre
5ème saison de quoi ?
camus ?
ce qui est sûr :
-l'articke atténue fortement le titre (comm d'hab)
- il est toujours bon que 'kauphting' soit cité.
5ème saison de quoi ?
camus ?
ce qui est sûr :
-l'articke atténue fortement le titre (comm d'hab)
- il est toujours bon que 'kauphting' soit cité.
u13- Nombre de messages : 184
Date d'inscription : 12/10/2008
Re: Nouvelle victime de Kaupthing (Echo du 9/12)
c'est une société d'organisation d'événements
Isabelle- Nombre de messages : 168
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: Nouvelle victime de Kaupthing (Echo du 9/12)
merci lève-tôte
u13- Nombre de messages : 184
Date d'inscription : 12/10/2008
Re: Nouvelle victime de Kaupthing (Echo du 9/12)
Ils osent chez K... Cette info apparaît tjrs sur leur site:
5ème SAISON sa : offre en souscription publique
Offre en souscription publique d’un maximum de 206.654 actions nouvelles, provenant d’une augmentation de capital, au prix ferme de 2,48 € par action, et d’un maximum de 750 obligations nouvelles, au prix ferme de 1.025 € par obligation. Demande d’admission sur le Marché Libre d’Euronext Brussels de maximum 871.497 actions représentatives de l'intégralité du capital de 5ème SAISON et d’un maximum de 900 obligations d’une valeur nominale de 1.000 € émises par 5ème SAISON.
Dates-clés
Date d'ouverture de l'offre: 09-06-2008
Date de clôture de l'offre: 09-07-2008, sauf clôture anticipée
Date de paiement: 15-07-2008
Chris_DL- Nombre de messages : 326
Age : 69
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: Nouvelle victime de Kaupthing (Echo du 9/12)
Nicole Boinem, ce nom me dit quelque chose, vous ne seriez pas journaliste à la rtbf, ou quelqu'un de votre famille ?
Pour 5ème saison, c'est une société qui organise des évènements et qui a voulu faire une introduction en bourse.
Ces introductions sur le marché libre de Bxl sont "soutenues" par un sponsor, une banque en général, la Kaupthing Belgium dans ce cas-ci.
Kaupthing Belgium a d'ailleurs été très active dans ce domaine, et a soutenu plusieurs introduction en bourse de société diverses, immobilières (Immo Moury, Tetrys), technologique (société BSB, développement des système de sécurité des transactions internet, des transactions bancaires, bref sécurité informatique), et 5ème saison.
Le SOIR en parlait d'ailleurs dans un article, voir http://archives.lesoir.be/informatique-le-groupe-veut-recolter-5-millions_t-20080610-00GEM6.html?queryand=thomas+kaupthing&firstHit=20&by=10&when=-1&begYear=1989&begMonth=01&begDay=01&endYear=2008&endMonth=12&endDay=09&sort=datedesc&rub=TOUT&pos=22&all=25&nav=1
Pour 5ème saison, c'est une société qui organise des évènements et qui a voulu faire une introduction en bourse.
Ces introductions sur le marché libre de Bxl sont "soutenues" par un sponsor, une banque en général, la Kaupthing Belgium dans ce cas-ci.
Kaupthing Belgium a d'ailleurs été très active dans ce domaine, et a soutenu plusieurs introduction en bourse de société diverses, immobilières (Immo Moury, Tetrys), technologique (société BSB, développement des système de sécurité des transactions internet, des transactions bancaires, bref sécurité informatique), et 5ème saison.
Le SOIR en parlait d'ailleurs dans un article, voir http://archives.lesoir.be/informatique-le-groupe-veut-recolter-5-millions_t-20080610-00GEM6.html?queryand=thomas+kaupthing&firstHit=20&by=10&when=-1&begYear=1989&begMonth=01&begDay=01&endYear=2008&endMonth=12&endDay=09&sort=datedesc&rub=TOUT&pos=22&all=25&nav=1
Voici l'article en entier.
10 juin 2008
BSB, la finance sur Alternext
Informatique
Le groupe veut récolter 5 millions d’euros
La Bourse a beau faire grise mine (si vous en avez le courage, jetez un coup d’œil au cours de Dexia ou Fortis), ce début de semaine est cependant extrêmement actif sur le plan des introductions en Bourse. Ce lundi débute ainsi l’offre en souscription publique d’actions BSB, une société informatique de Louvain-la-Neuve qui vise Alternext, la bourse des valeurs de croissance.
BSB, qui compte aujourd’hui 185 personnes, est une entreprise qui s’est spécialisée dans les logiciels financiers.
Sur deux axes : le service (conseil, définition et mise en œuvre de solution, intégration de logiciel, etc.) et le développement de logiciels propres pour l’industrie financière (dans la gestion de l’administration, de polices d’assurance-vie ou d’actifs financiers).
Ses prévisions sont assez toniques, puisque la société, qui a réalisé en 2007 un bénéfice de 71.000 euros, table sur 857.000 cette année, 1,4 million en 2009, 2,3 millions en 2010 et 3,5 millions en 2011.
Des islandais hyperactifs
BSB, qui a déjà doublé de taille ces trois dernières années, recherche aujourd’hui via la bourse des fonds pour développer ses logiciels, étendre son réseau commercial et, pourquoi pas, réaliser l’une ou l’autre acquisition.
La société compte récolter environ 5 millions d’euros en offrant au public, du 9 juin au 7 juillet, près de 472.000 titres à 10,6 euros par action.
Toujours lundi, sur le marché libre réservé aux très petites sociétés, un autre candidat à la cotation commence lui aussi à offrir ses actions au public : Cinquième saison, société spécialisée dans l’événement éphémère (écran géant, etc.). Et puis, lundi toujours, avait lieu la première cotation de Tetrys, petit promoteur immobilier, pupille d’une autre société du marché libre : Patrimonia. Pour sa première cotation, Tetrys affiche un cours de 4,62 euros, ce qui est identique au prix de souscription. Toutes ces opérations (Tetrys, BSB, Cinquième saison), sont financièrement pilotées par Kaupthing Bank.
pp- Nombre de messages : 622
Date d'inscription : 29/10/2008
Re: Nouvelle victime de Kaupthing (Echo du 9/12)
Un autre article du lendemain toujours dans Le SOIR, qui parle (entre autres) de 5ème Saison.
Ces introductions en bourse étaient contrôlées par la CBFA, donc rien à craindre, c'est du solide...
En plus si c'est Stéphane Richter, le patron de la Kaupthing Belgium qui le dit, c'est que c'est vrai...
Depuis quand un patron de banque dirait-il n'importe quoi à un journaliste ? Non, non, les banquiers sont des gens de bonne foi et relayer leurs propos rassurants est une pratique tout à fait normale de la part d'un grand quotidien "indépendant".
Kaupthing Bank, nouvelle venue en Belgique écrit le journaliste.
La succursale belge de la banque islandaise Kaupthing, qui a créé une succursale chez nous au début de cette année écrit encore le journaliste.
C’est assez simple, dit Mr Richter, patron de Kaupthing Belgique (depuis 8 mois à ce moment), depuis deux ans (!!! 2 ans ???), nous diversifions nos sources de financement.
La guerre de l’épargne fait rage sur internet
Mercredi 11 juin 2008
P.20 La bataille du compte d’épargne se joue de plus en plus sur le Net. ING lance un compte à 4 %. Le concurrent Kaupthing passe à 6 %.
ING Belgique vient de lancer une offensive de charme qui risque bien de secouer le monde bancaire belge. Jusqu’ici, les quatre grandes banques de réseau belges (Fortis, KBC, Dexia et ING), dominant de la tête et des épaules le marché de l’épargne, avaient pris le pli de ne plus soigner la rémunération de leurs carnets de dépôt, laissant cela à quelques outsiders de plus petite taille, souvent venus de l’internet. Mais voilà qu’ING lance un compte d’épargne en ligne assorti d’un taux d’intérêt de base de 4 %, ce qui la replace dans le peloton de tête des offres du marché et la démarque nettement des autres grandes enseignes. Comment réagiront ces dernières ? On ne devrait pas tarder à le savoir. Au même moment, Kaupthing Bank, nouvelle venue en Belgique, a relevé la rémunération de son compte en ligne pour la porter à 6 %. Un nouveau round vient de s’engager dans la bataille de l’épargne et c’est sur le Net que cela se passe.
Nouveau round sur le livret
Banques
La bataille du compte d’épargne se joue plus que jamais sur internet
ING, une des quatre grandes belges, lance un compte d’épargne en ligne à 4 %.
Quand Kaupthing passe à 6 %…
Voilà qui ne restera sans doute pas sans suite. ING Belgique vient de lancer un compte d’épargne en ligne assorti d’un taux d’intérêt de base de 4 % pour les 50.000 premiers euros déposés (3 % au-delà). Cela fait un moment que des banques outsiders sur le marché belge proposent ce niveau de rémunération (voir notre infographie ci-contre) mais, parmi les quatre grandes banques du pays, c’est assurément une première.
Pour rappel, Fortis et Dexia s’en tiennent à un taux de base de 1,5 % (à augmenter d’une prime d’accroissement et/ou de fidélité de 0,5 %) et ce, depuis juillet 2006. KBC et ING (pour le livret vert, soit son compte d’épargne classique) font un peu mieux avec 1,75 % (+0,5 % ici aussi).
Avec son offre en ligne, ING rejoint donc le peloton des banques qui font du compte d’épargne un produit d’appel. « Internet devenant un canal à part entière, ING se doit d’y être présente », fait valoir la banque qui n’en est plus à son coup d’essai en matière de banque en ligne (lire ci-dessous).
D’un point de vue financier, la hausse des taux a pour décor celle en vigueur sur les marchés financiers, conséquence de la crise de confiance qui les tétanise depuis l’été dernier et l’envol des défauts de paiement sur le marché hypothécaire américain à risque (le fameux « subprime »). Exemple : le taux de l’Euribor (celui auquel les banques se prêtent de l’argent) à six mois pointe aujourd’hui à 5,12 %, contre 4,7 % en début d’année. C’est cette tension sur les marchés qui permet aux banques, du moins à certaines, de relever leurs taux.
Que feront les autres grandes maisons belges ? Jusqu’ici, elles s’en tiennent au classique « nous observons le marché ». Elles rappellent aussi que, si elles ne poussent plus le compte d’épargne, elles estiment avoir en magasin des alternatives comparables et citent en premier lieu bons de caisse ou comptes à terme (Dexia et KBC sont passés récemment à 4,80 % brut sur un an). Mais les Fortis, Dexia et KBC en resteront-elles là ?
ING, de plus en plus Direct
C’est la ligne suivie depuis un moment par ING Belgique, filiale du groupe néerlandais et 4e banque belge : faire évoluer le plus possible la banque de réseau classique qu’elle a été jusqu’ici (ING Belgique, c’est l’ex-BBL, rachetée en 1998) vers une banque en ligne. Le modèle d’ING Belgique, c’est en fait… ING Direct, cette banque sans agences car purement internet montée de toutes pièces et à grands frais (750 millions d’euros d’investissement combiné) par le groupe dans des pays où il n’était pas présent : France, Canada, Etats-Unis…
L’exemple le plus frappant du virage entamé par la filiale belge est à chercher du côté de l’assurance. Après avoir vendu au concurrent P&V son portefeuille de contrats vie et non-vie vendus via les courtiers, le groupe s’est lancé fin 2007 dans l’assurance auto en ligne, avec l’objectif d’atteindre une part de marché de 5 % de l’assurance auto pour particuliers d’ici 5 ans, soit 250.000 contrats. Depuis lors, sa politique de prix très agressive (du moins pour certains profils de clients) fait rentrer 250 polices chaque jour, situe la banque qui rechigne à communiquer un chiffre global.
Le topo est le même côté bancaire, où ING Belgique a décidé de mettre le paquet sur les canaux directs et planifié la disparition des guichetiers dans deux agences sur trois, supprimant au passage 850 postes d’ici 5 ans. La maison a d’abord lancé un compte à vue en ligne avec cartes de débit (« Lion account ») gratuit car réservé aux seules transactions électroniques (les retraits ou versements aux guichets ne sont pas possibles par exemple).
Ici, ce sont 125 comptes qui s’ouvriraient par jour. Mais il s’agit là d’une moyenne et tout dépend de la présence publicitaire de la maison : dès qu’elle lève le pied du côté marketing, la sanction est quasi immédiate du côté des ventes.
ING vient de franchir un pas supplémentaire en lançant en ligne un compte d’épargne réglementé (à savoir que les intérêts sont exonérés jusqu’à 1.660 euros par an), le « Lion deposit », servant un taux de base de 4 % (contre… 1,75 % pour le compte d’épargne classique de la même ING).
En attendant la réplique
Le compte se gère uniquement via Home Bank, le logiciel d’e-banking d’ING (fourni à l’ouverture) et c’est ce qui le rend gratuit : le client intervient seul sur son compte. Il n’implique pas l’ouverture d’un compte à vue ING : le client peut verser son argent depuis un compte d’une autre maison et l’y rapatrier en direct. Capter en ligne droite l’épargne de la concurrence, c’est évidemment l’objectif d’ING. On attend à présent la réplique.
Kaupthing agressif jusqu’en 2012
L’Islande n’est pas pour rien une des patries des Vikings. La succursale belge de la banque islandaise Kaupthing, qui a créé une succursale chez nous au début de cette année, a lancé un pavé dans la mare en ce début de semaine. Elle propose sur son compte d’épargne internet « Edge » un taux de base de 4 %, plus 2 % de prime d’accroissement (pendant six mois), puis 1 % de prime de fidélité. Ce qui fait 5,5 % pendant un an.
Est-ce tenable pour une banque ? « Oui, répond Stéfan Richter, le patron de Kaupthing Belgique. C’est assez simple, dit-il : depuis deux ans, nous diversifions nos sources de financement. Auparavant, nous allions essentiellement sur le marché professionnel. Aujourd’hui, nous pensons que le client est suffisamment averti pour que l’utilisation d’internet ne pose pas de problème. » Et donc Kaupthing a ouvert dans neuf pays d’Europe un réseau de banque internet, qui veut offrir des produits simples et compétitifs. Pour la Belgique, il s’agit aujourd’hui du livret d’épargne. Mais dans un avenir plus ou moins rapproché, l’offre devrait s’élargir aux produits avec garantie du capital, ou à des produits d’assurances.
Peu de frais
Mais cette agressivité ne va-t-elle pas retomber ? Certainement pas dans l’immédiat. Car Kaupthing se donne quatre ans pour conquérir le marché belge. « Nous avons une volonté affichée d’offrir un haut taux de rémunération, le meilleur possible, au moins jusqu’en 2012, » explique Stéfan Richter.
Ce modèle islandais permet d’assurer une rémunération élevée à ses clients, à la fois parce que ses charges opérationnelles sont basses, mais aussi parce que l’argent récolté est réinvesti dans des activités qui procurent des marges élevées, « sans être pour autant plus risquées, si on les cible bien, » dit Stéfan Richter. Kaupthing fournit par exemple, pour des périodes relativement courtes, du « quasi capital » à certains entrepreneurs.
Parallèlement à la banque de dépôt, Kaupthing développe aussi une activité de banquier privé et, s’est lancé, tout récemment, dans les introductions en Bourse. La banque a déjà patronné quatre opérations (Tetrys, Cinquième saison, BSB et ImmoMoury). Et d’autres devraient suivre à la rentrée. « Nous tablons sur 10 à 20 opérations de ce genre par an, dit Stéfan Richter. Elles apportent aux sociétés des fonds et une visibilité. Et pour nous, elles peuvent générer, par les contacts que nous avons avec la société et ses actionnaires, un courant d’affaires supplémentaire ».
Ces introductions en bourse étaient contrôlées par la CBFA, donc rien à craindre, c'est du solide...
En plus si c'est Stéphane Richter, le patron de la Kaupthing Belgium qui le dit, c'est que c'est vrai...
Depuis quand un patron de banque dirait-il n'importe quoi à un journaliste ? Non, non, les banquiers sont des gens de bonne foi et relayer leurs propos rassurants est une pratique tout à fait normale de la part d'un grand quotidien "indépendant".
Kaupthing Bank, nouvelle venue en Belgique écrit le journaliste.
La succursale belge de la banque islandaise Kaupthing, qui a créé une succursale chez nous au début de cette année écrit encore le journaliste.
C’est assez simple, dit Mr Richter, patron de Kaupthing Belgique (depuis 8 mois à ce moment), depuis deux ans (!!! 2 ans ???), nous diversifions nos sources de financement.
pp- Nombre de messages : 622
Date d'inscription : 29/10/2008
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