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2008-11-12 :: wiwo.de :: Crédit FMI bloqué: Islandais sous pression

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Message  Invité Mer 12 Nov - 18:39

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IWF-Kredit blockiert: Isländer unter Druck

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12.11.2008
Die Blockadehaltung der Regierungen Großbritanniens und der Niederlande zeigen Wirkung. Island ist derart auf den ausstehenden Kredit des Internationalen Währungsfonds (IWF) angewiesen, dass Staatspräsident Grimsson nun sogar ausfallend geworden sein soll.
Islands Premierminister Geir Bild vergrößern Rauhe Zeiten für Islands Premierminister Geir H. Haarde REUTERS

Das Ausbleiben von Krediten an Island zur Rettung vor einem Staatsbankrott setzt die politische Führung in Reykjavik immer massiver unter Druck. Wie die Osloer Zeitung „Klassekampen“ heute berichtete, soll sich Staatspräsident Ólafur Ragnar Grímsson vor Botschaftern im Zorn sogar für eine Einladung an Russland zur Nutzung des früheren US-Militärstützpunkts Keflavik ausgesprochen haben.

Das Staatsoberhaupt des kleinen Nato-Landes im Nordatlantik sagte nach einer Mitschrift des norwegischen Botschafters bei einem Essen, wegen der bislang ausgebliebenen Hilfe im Gefolge der Finanzkrise müsse man „neue Freunde“ suchen. Grímsson sei dabei gegenüber Großbritannien „direkt beleidigend“ geworden, hieß es in dem vertraulichen Bericht. Er sagte: „Der Nordatlantik ist für den Norden, die USA und Großbritannien wichtig. Das vergessen diese Länder jetzt offenbar.“ Grímssons Büro wollte sich zu den Zitaten nicht äußern.

Die Briten gelten in Reykjavik als Haupt-Drahtzieher bei der Verzögerung eines angekündigten und als lebenswichtig geltenden
Kredits vom IWF. Die endgültige Bewilligung von 2,1 Milliarden Dollar (1,7 Milliarden Euro) wurde am Montag vom Fonds zum dritten Mal verschoben. Während der britische Premierminister Gordon Brown die Vorwürfe aus Island zurückwies, kam nach Angaben der Zeitung „Financial Times“ eine indirekte Bestätigung der Blockadehaltung aus den Niederlanden.

Das Blatt zitierte den niederländischen Finanzminister Wouter Bos mit der Erklärung, seine Regierung werde den IWF-Kredit so lange blockieren, bis der Streit über ausländische Einlagen bei isländischen Banken gelöst ist. Reykjavik verweigert bisher Garantien auch für nicht-isländische Anleger bei den zwangsverstaatlichen Banken. Bos sagte laut „Financial Times“ weiter: „Glücklicherweise haben wir so mächtige Verbündete wie Großbritannien und Deutschland mit denselben Problemen gegenüber Island.“

Offiziell steht Deutschland seinen Sparern jedoch nicht bei. Die Bundesregierung ging anfangs sogar auf Distanz zu den Geschädigten, indem einzelne Minister die Kleinanleger für angeblich risikoreiche Geschäfte in fremden Ländern kritisierten. In Großbritannien und den Niederlanden sind 230.000 Privatkunden der früheren Internetbank Icesaves betroffen. In Deutschland warten etwa 30.000 Anleger bei deutschen Kaupthing-Niederlassung namens Kaupthing Edge auf die Klärung ihrer Ansprüche. Die deutschen Einlagen allein sollen etwa 300 Millionen Euro betragen.


12.11.2008

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Crédit FMI bloqué: Islandais sous pression

Le blocage des gouvernements du Royaume-Uni et des Pays-Bas sont efficaces. L'Islande est aussi sur le prêt du Fonds monétaire international (FMI) indique que le président de la République Grímsson échouant même à présent être devenus.

L'absence de crédits à l'Islande à la délivrance d'un Etat à la faillite, la politique de plus en plus massif à Reykjavik sous pression. Comment les journaux d'Oslo "Klassekampen" a rapporté aujourd'hui, le président de la République doit se Ólafur Ragnar Grímsson il ya même des ambassadeurs en colère pour une invitation à la Russie pour l'exploitation de l'ancienne base militaire américaine Keflavik en considération.

Le chef de l'État du petit pays de l'OTAN dans l'Atlantique Nord a déclaré après une transcription de l'ambassadeur norvégien, lors d'un repas, jusqu'à présent, en raison de la non-assistance à la suite de la crise financière, il faut "de nouveaux amis" Rechercher. Grímsson Royaume-Uni est en vis-à-vis "directement insultant" devenu peut-on lire dans le rapport confidentiel. Il a déclaré: «L'Atlantique Nord est pour le Nord, les États-Unis et le Royaume-Uni important. L'oublier, ces pays semblent maintenant. "Grímsson bureau se voulait pas prononcer les citations.

Les Britanniques sont à Reykjavik, en tant que fils à couper dans le délai d'un annoncées comme essentiel et en vigueur
Crédit du FMI. L'autorisation finale de 2,1 milliards de dollars (1,7 milliards d'euros) a été signé le lundi par le Fonds pour la troisième fois reportée. Alors que le Premier ministre britannique Gordon Brown l'a rejeté des accusations de l'Islande, a, selon le journal "Financial Times", une confirmation indirecte de l'attitude de blocage aux Pays-Bas.

Le journal a cité le ministre des Finances néerlandais, Wouter Bos, avec la déclaration que son gouvernement serait prêt du FMI de bloquer plus longtemps, jusqu'à ce que le différend sur les dépôts étrangers dans les banques islandaises est résolu. Reykjavik refusé jusqu'à présent de garanties de non-islandaise zwangsverstaatlichen investisseurs dans les banques. Bos a dit le "Financial Times", plus loin: "Heureusement, nous avons aussi de puissants alliés comme le Royaume-Uni et l'Allemagne avec les mêmes problèmes de l'Islande."

Officiellement, l'Allemagne son mais pas chez les épargnants. Le gouvernement fédéral est allé même au début de la victime à distance en permettant aux petits investisseurs, les ministres des affaires prétendument à haut risque dans les pays étrangers critiqué. Au Royaume-Uni et aux Pays-Bas sont 230.000 clients privés de l'ancienne banque Icesaves concernés. En Allemagne, les investisseurs attendent à environ 30.000 Kaupthing filiale allemande du nom de Kaupthing Edge sur la clarification de leurs droits. Les allemands doivent les dépôts d'environ 300 millions d'euros recevoir.

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