2008-11-12 11 h 28 :: earthtimes.org :: Le président Islandais fustige les prêts au point mort

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Iceland president lashes out over stalled loans

Posted : Wed, 12 Nov 2008 11:18:22 GMT

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Reykjavik/Oslo - The president of Iceland has expressed anger and disappointment over the slow pace in securing emergency loans, reports said Wednesday. Since traditional allies like the United States and Britain have failed to aid the cash-strapped North Atlantic nation, Iceland might have to "look for new friends, President Olafur Ragnar Grimsson was quoted in a Norwegian diplomatic report obtained by the Norwegian Klassekampen newspaper.

Grimsson, who does not have formal powers, expressed his views at a recent luncheon for diplomats.

Iceland secured a tentative deal with the International Monetary Fund (IMF) for a 2.1-billion-dollar loan, but the IMF board has yet to approve it.

Reykjavik has indicated it needs 6 billion dollars, but Nordic neighbours and European countries have said they want the IMF approval in place first.

According to the account in Klassekampen, the president even offered Russia use of the former US military base Keflavik, a key NATO installation during the Cold War. The US pulled out of Kefalavik in 2006.

The Russian ambassador, who also was present at the luncheon, said Moscow had no need for the base, the report said.

Grimsson praised neighbours Norway and the Faroe Islands for offering assistance but was critical of Britain, Sweden and Denmark.

Britain and the Netherlands have been in talks with Iceland over how to cover deposits of British and Dutch savers holding deposits in the collapsed Icelandic internet bank Icesave.

Last month, Britain froze Icelandic bank assets in its territory because of a dispute over bank deposit guarantees.

Iceland in October also sent a delegation to Moscow to discuss a possible loan, and has also approached the European Commission that earlier this week said it was considering a "small loan."


Le président Islandais fustige les prêts au point mort

Reykjavik / Oslo - Le président de l'Islande a exprimé la colère et la déception devant la lenteur à obtenir les prêts d'urgence, a déclaré mercredi rapports. Étant donné que les alliés traditionnels comme les États-Unis et la Grande-Bretagne n'ont pas d'aide à l'argent, les pays du Nord Atlantique, l'Islande pourrait avoir à "chercher de nouveaux amis, le Président Ólafur Ragnar Grímsson a été cité dans un rapport norvégien diplomatique obtenu par le journal norvégien Klassekampen.

Grímsson, qui ne dispose pas de pouvoirs formels, exprimé son point de vue lors d'un récent déjeuner pour les diplomates.

Islande garanti un projet de traiter avec le Fonds monétaire international (FMI) pour 2,1 milliards de dollars de prêts, mais conseil d'administration du FMI a encore de l'approuver.

Reykjavik a indiqué qu'il besoins de 6 milliards de dollars, mais les voisins nordiques et les pays européens ont dit qu'ils voulaient l'approbation du FMI en place en premier.

Selon le compte en Klassekampen, le président a même offert de la Russie utiliser l'ancienne base militaire américaine de Keflavik, une installation clé de l'OTAN pendant la guerre froide. Les États-Unis se sont retirés de Kefalavik en 2006.

L'ambassadeur de Russie, qui a été également présent lors du déjeuner, dit Moscou n'a pas besoin pour la base, selon le rapport.

Grímsson voisins félicité la Norvège et les îles Féroé pour l'offrant de l'aide mais il a été critique de la Grande-Bretagne, la Suède et le Danemark.

Grande-Bretagne et les Pays-Bas ont été en pourparlers avec l'Islande sur la façon de couvrir les dépôts de britanniques et néerlandais à la tenue des dépôts des épargnants dans l'effondrement islandaise Icesave banque internet.

Le mois dernier, la Grande-Bretagne a gelé des avoirs bancaires islandaise sur son territoire en raison d'un différend sur la banque de garantie des dépôts.

Octobre en Islande a également envoyé une délégation à Moscou pour discuter d'un possible prêt, et a également abordé la Commission européenne que plus tôt cette semaine, a déclaré qu'il envisageait un "petit prêt."