2008-11-12 :: dw-world.e :: Le Président Islandais irrité par les prêts hésitants

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Economy | 12.11.2008

Iceland's President Irked by Hesitant Lending

An irritated Grimsson is thinking about looking for new friends

The president of Iceland has expressed anger and disappointment over the slow pace in securing emergency loans after the country's financial sector collapsed under the weight of the global financial crisis.

Iceland's President Olaf Ragnar Grimsson has vowed his country would "look for new friends" since once traditional allies like the United States and Britain have failed to aid the cash-strapped North Atlantic nation, a Norwegian newspaper reported.

Grimsson, who does not have formal powers, expressed his views at a recent luncheon for diplomats.

Iceland had previously secured a tentative deal with the International Monetary Fund for a $2.1 billion loan, but the IMF board has yet to approve it.

However, on Wednesday, Nov. 12, it looked as if that deal were in danger of unraveling.

On Tuesday, some two weeks after it initially struck the loan agreement, the IMF said it was waiting for a loan for the crisis-hit island to be "fully financed" before it could be submitted to the IMF executive board.

Offer for Moscow

The IMF's backpedaling now has put a $6 billion loan pact under threat. Iceland's Nordic neighbors and European countries have said they want IMF approval in place before they support such a package.

A man walks past a branch of Iceland's Kaupthing bank. Bildunterschrift: Großansicht des Bildes mit der Bildunterschrift: Kaupthing, Iceland's biggest bank, was taken over by the government

According to an account in Norway's Klassekampen, the Icelandic president's search for new friends included his offering Russia the use of the former US military base Keflavik, a key NATO installation during the Cold War. The US pulled out of Kefalavik in 2006.

The Russian ambassador, who also was present at the luncheon, said Moscow had no need for the base, the report said.

At the luncheon, Grimsson praised neighbors Norway and the Faroe Islands for offering assistance, but he was critical of Britain, Sweden and Denmark.

Ongoing problems

Britain and the Netherlands have been in talks with Iceland over how to cover the money of British and Dutch savers with deposits in the collapsed Icelandic Internet bank Icesave.

Last month, Britain froze Icelandic bank assets in its territory because of a dispute over bank deposit guarantees.

EU chief Jose Manuel Barroso has told Iceland that planned EU loans to help it out of its financial crisis are conditional. He said the country must resolve its disputes with EU countries over compensation for depositors that lost money in Icelandic banks.

Iceland's once booming financial sector has crumbled under the weight of the worldwide credit crunch, forcing the government last month to take control of major banks as its currency has nosedived.



Le Président Islandais irrité par les prêts hésitants

Une irritation Grímsson est la réflexion sur la recherche de nouveaux amis

Le président de l'Islande a exprimé la colère et la déception devant la lenteur à obtenir les prêts d'urgence après que le pays le secteur financier s'est effondré sous le poids de la crise financière mondiale.

Président de l'Islande Olaf Ragnar Grímsson a promis son pays "chercher de nouveaux amis" car une fois les alliés traditionnels comme les États-Unis et la Grande-Bretagne n'ont pas d'aide à l'argent, les pays du Nord Atlantique, un journal norvégien signalés.

Grímsson, qui ne dispose pas de pouvoirs formels, exprimé son point de vue lors d'un récent déjeuner pour les diplomates.

L'Islande a déjà obtenu un projet de traiter avec le Fonds monétaire international de 2,1 milliards de $ de prêt, mais conseil d'administration du FMI a encore de l'approuver.

Toutefois, le mercredi, novembre 12, il semblait que si cette face sont en danger de démantèlement.

Le mardi, deux semaines après avoir d'abord frappé l'accord de prêt, le FMI a dit qu'il était en attente d'un prêt pour la crise île à être "entièrement financé" avant d'être soumis au Conseil d'administration du FMI.

Offre pour Moscou

Le FMI a backpedaling maintenant mettre un $ prêt de 6 milliards pacte sous la menace. De l'Islande voisins nordiques et les pays européens ont dit qu'ils voulaient l'approbation du FMI en place avant de soutenir un tel paquet.

Un homme passe une branche de l'Islande KAUPTHING BANK. Bildunterschrift: Großansicht des Bildes mit der Bildunterschrift: KAUPTHING, de l'Islande la plus grande banque, a été pris en charge par le gouvernement

Selon un compte par la Norvège dans son Klassekampen, le président islandais à la recherche de nouveaux amis son offre inclus le recours à la Russie de l'ancienne base militaire américaine de Keflavik, une installation clé de l'OTAN pendant la guerre froide. Les États-Unis se sont retirés de Kefalavik en 2006.

L'ambassadeur de Russie, qui a été également présent lors du déjeuner, dit Moscou n'a pas besoin pour la base, selon le rapport.

Lors du déjeuner, fait l'éloge Grímsson voisins Norvège et les îles Féroé pour l'offrant de l'aide, mais il a été critique de la Grande-Bretagne, la Suède et le Danemark.

Problèmes en cours

Grande-Bretagne et les Pays-Bas ont été en pourparlers avec l'Islande sur la façon de couvrir l'argent des Britanniques et les Néerlandais avec les dépôts des épargnants dans l'effondrement Internet banque islandaise Icesave.

Le mois dernier, la Grande-Bretagne a gelé des avoirs bancaires islandaise sur son territoire en raison d'un différend sur la banque de garantie des dépôts.

Chef de l'UE José Manuel Barroso a dit que l'Islande prévue par l'UE prêts à l'aider à sortir de sa crise financière est conditionnel. Il a dit que le pays doit résoudre ses différends avec les pays de l'UE sur l'indemnisation des déposants qui ont perdu l'argent dans les banques islandaises.

De l'Islande, une fois en plein essor du secteur financier s'est effondré sous le poids du crédit dans le monde entier, ce qui oblige le gouvernement le mois dernier de prendre le contrôle de grandes banques comme sa monnaie a piqué du nez.