Déclaration de Juncker devant la chambre des députés au Luxembourg

Déclaration du Premier ministre sur la crise financière internationale
14-10-2008
Vers le niveau supérieur
Le 14 octobre 2008, le Premier ministre, ministre des Finances et président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a prononcé une déclaration sur la crise mondiale dans le secteur financier à la Chambre des députés.

Jean-Claude Juncker lors de son interventionDans sa déclaration, le Premier ministre a annoncé que le gouvernement luxembourgeois et la Banque centrale du Luxembourg prendront toutes les mesures nécessaires pour protéger la liquidité des Fonds du marché monétaire (money market funds) de droit luxembourgeois.

Ceci peut être fait par la provision temporaire de liquidité spéciale au bénéfice de ces fonds contre la livraison d’actifs éligibles à la Banque centrale.

Les Fonds du marché monétaire au Luxembourg bénéficieront ainsi de la même protection que ceux dans d’autres pays européens.

En clair ça veut dire quoi pour nous ?

eh bien je suis pas un spécialiste. mais en tous cas ça veut dire que Kaupthing peut s'adresser au gouvernement pour avoir des liquidités et continuer son activité.

Je comprends les choses de la même manière.

Ben ça me paraît aussi être la bonne interprétation de cette déclaration.
C'est positif...à voir dans les jours avenir.

N'étant pas un spécialiste,je ne comprends pas grand-chose à ce charabia! Si quelqu'un pouvait me traduire cela en langage compréhensible pour le commun des mortels je lui en saurais gré.

Ne voyons pas cela comme une bonne nouvelle, tant que les politiciens ne disent rien de clair en ce qui concerne notre cas restez critique.

Après tout, si tout rentrerais en ordre on saurait les premiers à la savoir et on nous le dirais clairement.

On attend des réponses "claires".

Il a simplement dit qu'en brave petit chauvin il aurait protégé les fonds d'investissement monetaires de droit luxembourgeois (= les societé luxo qui investissent dans des instruments financiers monétaires).
Rien à voir avec notre banque.
Il n'y a rien à se réjouir...